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Cette espèce est un élément faunistique eurasiatique avec des affinités steppiques dont l’aire de répartition va de la {{Fra}} au [[Japon]]. En Europe, elle est principalement présente en périphérie des Alpes et des Balkans ainsi qu’au sud de l’Europe centrale. Elle est en limite de répartition en {{Fra}}. Elle y est présente principalement dans le sud-est du pays [2019]. | |||
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Zones marécageuses de plaine et de moyenne altitude jusqu’à 1500 m environ : prairies humides et marais, rizières et secteurs inondables en marges des zones humides, étangs et lacs, etc. Les adultes se tiennent au niveau des milieux larvaires (d’Aguilar & Dommanget 1998).<br> | Zones marécageuses de plaine et de moyenne altitude jusqu’à 1500 m environ : prairies humides et marais, rizières et secteurs inondables en marges des zones humides, étangs et lacs, etc. Les adultes se tiennent au niveau des milieux larvaires (d’Aguilar & Dommanget 1998).<br> | ||
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''Sympetrum depressiusculum'' est un exemple d’espèce des milieux temporaires influencée par les caractéristiques des habitats terrestres qu’elle fréquente durant environ 3 mois. Les individus recherchent les endroits avec une végétation dense et riches en proies, ainsi les secteurs agricoles pauvres en Insectes sont-ils désertés. Les populations se répartissent en patchs selon les caractéristiques de l’environnement, en particulier si celui-ci est hétérogène. La distance maximale de reprise d’individus marqués est de près de 1200 m, les ♀ s’éloignent significativement plus que les ♂ en moyenne (Dolnỳ & al. 2014).<br> | ''Sympetrum depressiusculum'' est un exemple d’espèce des milieux temporaires influencée par les caractéristiques des habitats terrestres qu’elle fréquente durant environ 3 mois. Les individus recherchent les endroits avec une végétation dense et riches en proies, ainsi les secteurs agricoles pauvres en Insectes sont-ils désertés. Les populations se répartissent en patchs selon les caractéristiques de l’environnement, en particulier si celui-ci est hétérogène. La distance maximale de reprise d’individus marqués est de près de 1200 m, les ♀ s’éloignent significativement plus que les ♂ en moyenne (Dolnỳ & al. 2014).<br> | ||
Se trouve dans des eaux calmes des vallées alluviales de plaine, peu profondes et riches en végétation. On trouve cet Odonate sud divers habitats : bas-marais, étangs, gravières, cours d’eau très lents en été, bras morts, rizières, fossés en eau en été et à l’étiage en hiver. Celles-ci se caractérisent par un assèchement plus ou moins important après la période de ponte en fin d’été et en automne. La remise en eau se déroule au printemps suivant. On l’a trouvée aussi au niveau des rizières [[Camargue|camarguaises]] ([[France]]) mais sur ce secteur les populations se sont fortement raréfiées (Grand & Boudot 2006) (voire ont disparu). Dans tous les cas, la température des eaux de surface peut dépasser les 35°C en été (Wildermuth & al. 2005) et les eaux sont souvent riches en zooplancton selon Schmidt (2008). Les déplacements pour cette espèce sont importants pour aller sur les sites de maturation qui se trouvent à proximité des gîtes larvaires, mais parfois plus éloignés sur les coteaux comme c’est le cas dans les | Se trouve dans des eaux calmes des vallées alluviales de plaine, peu profondes et riches en végétation. On trouve cet Odonate sud divers habitats : bas-marais, étangs, gravières, cours d’eau très lents en été, bras morts, rizières, fossés en eau en été et à l’étiage en hiver. Celles-ci se caractérisent par un assèchement plus ou moins important après la période de ponte en fin d’été et en automne. La remise en eau se déroule au printemps suivant. On l’a trouvée aussi au niveau des rizières [[Camargue|camarguaises]] ([[France]]) mais sur ce secteur les populations se sont fortement raréfiées (Grand & Boudot 2006) (voire ont disparu). Dans tous les cas, la température des eaux de surface peut dépasser les 35°C en été (Wildermuth & al. 2005) et les eaux sont souvent riches en zooplancton selon Schmidt (2008). Les déplacements pour cette espèce sont importants pour aller sur les sites de maturation qui se trouvent à proximité des gîtes larvaires, mais parfois plus éloignés sur les coteaux comme c’est le cas dans les Gorges de la Loire ([[Loire]], [[Haute-Loire]] : [[France]]). {{AP}} | ||
Il s'agit d'une espèce des annexes fluviales qui se trouvent aussi sur des canaux, dont le fonctionnement hydrologique est souvent à l'étiage en hiver. On la trouve aussi sur des plans d'eau de barrages ou sur des gravières à végétation riveraine temporairement inondée dont le fonctionnement peut être similaire [2019]. | |||
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Dernière version du 1 juillet 2025 à 02:11
Deliry C. [2025] – Sympetrum depressiusculum - In : Odonates du Monde (Histoires Naturelles) (2004-[2025]) – Version 58632 du 01.07.2025. – odonates.net
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→ Odonata > Epiproctophora > Anisoptera > Libellulines > Libelluloidea > Sympetridae
Sympetrum depressiusculum (de Selys Longchamps, 1841)
de Selys Longchamps E. 1841 - Nouvelles Libellulidées d'Europe. - Revue Zoologique, 4 : 243-246. - ONLINE
- Libellula depressiuscula de Selys Longchamps, 1841
- Sympetrum depressiusculum (de Selys Longchamps, 1841)
Sympétrum dépressiuscule, Sympétrum déprimé
VU 2024 Europe
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🔍 - ©© byncsa - Cyrille Deliry - Histoires Naturelles - Plaine de Pierrelatte (Drôme, France) le 7 juillet 2008 |
Répartition
- France - PNAO - (ill. : Hoefnagel 1575 ; voir ill. : Hoefnagell 1590-1600 ; LR : effectifs assez faibles : Dommanget 1987 ; EN : Dommanget & al. 2009 ; synthèse : Deliry 2019).
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🔍 - © Stéphane Pissavin - Pierrelatte (Drôme) en août 1996 |
Cette espèce est un élément faunistique eurasiatique avec des affinités steppiques dont l’aire de répartition va de la France au Japon. En Europe, elle est principalement présente en périphérie des Alpes et des Balkans ainsi qu’au sud de l’Europe centrale. Elle est en limite de répartition en France. Elle y est présente principalement dans le sud-est du pays [2019].
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🔍 - ©© byncsa - Cyrille Deliry - Histoires Naturelles |
Habitats
Liste Verte (SE de la France) - Espèce associée aux Grandes rivières et fleuves : annexes fluviales.
Zones marécageuses de plaine et de moyenne altitude jusqu’à 1500 m environ : prairies humides et marais, rizières et secteurs inondables en marges des zones humides, étangs et lacs, etc. Les adultes se tiennent au niveau des milieux larvaires (d’Aguilar & Dommanget 1998).
Présente une tendance à occuper des habitats artificiels (Schmidt 2008).
On rencontre cette espèce sur certains étangs au niveau d’eau variable ainsi que dans les fossés, les bras de cours d’eau à l’étiage en hiver et en crue en été. L’altitude maximale de reproduction est de 620 m dans le département de la Loire, France et le record d’observation 1040 m dans les Hautes-Alpes, France, la majorité des observations se faisant à basse altitude (Deliry 2008). Préfère les petits habitats temporaires, en particulier ceux des zones alluviales des rivières et des lacs. On le trouve aussi sur des habitats artificiels comme les rizières [2019]. Réputé présent en outre sur des étangs empoissonnés, le doit être local et mérite d’être confirmé. En effet d’autres éléments sont en contradiction avec cette notion.
Semblent favorisés par la vidange hivernale des étangs piscicoles de Dülmener et Ahlhorner en Allemagne (Dijkstra 2007, Schmidt 2008). Les habitats doivent être dépourvus de poissons (Šigutová & al. 2015, 2018).
Les adultes qui se tiennent au niveau des milieux larvaires, se rassemblent le soir, parfois en grande quantité pour dormir dans les haies, les fourrés ou les roselières (d’Aguilar & Dommanget 1998). L’importance des habitats terrestres pour la conservation de cette espèce est régulièrement soulignée (Dolný & al. 2013, 2014 ; Hykel & al. 2016, 2017).
Sympetrum depressiusculum est un exemple d’espèce des milieux temporaires influencée par les caractéristiques des habitats terrestres qu’elle fréquente durant environ 3 mois. Les individus recherchent les endroits avec une végétation dense et riches en proies, ainsi les secteurs agricoles pauvres en Insectes sont-ils désertés. Les populations se répartissent en patchs selon les caractéristiques de l’environnement, en particulier si celui-ci est hétérogène. La distance maximale de reprise d’individus marqués est de près de 1200 m, les ♀ s’éloignent significativement plus que les ♂ en moyenne (Dolnỳ & al. 2014).
Se trouve dans des eaux calmes des vallées alluviales de plaine, peu profondes et riches en végétation. On trouve cet Odonate sud divers habitats : bas-marais, étangs, gravières, cours d’eau très lents en été, bras morts, rizières, fossés en eau en été et à l’étiage en hiver. Celles-ci se caractérisent par un assèchement plus ou moins important après la période de ponte en fin d’été et en automne. La remise en eau se déroule au printemps suivant. On l’a trouvée aussi au niveau des rizières camarguaises (France) mais sur ce secteur les populations se sont fortement raréfiées (Grand & Boudot 2006) (voire ont disparu). Dans tous les cas, la température des eaux de surface peut dépasser les 35°C en été (Wildermuth & al. 2005) et les eaux sont souvent riches en zooplancton selon Schmidt (2008). Les déplacements pour cette espèce sont importants pour aller sur les sites de maturation qui se trouvent à proximité des gîtes larvaires, mais parfois plus éloignés sur les coteaux comme c’est le cas dans les Gorges de la Loire (Loire, Haute-Loire : France). [A préciser !]
Il s'agit d'une espèce des annexes fluviales qui se trouvent aussi sur des canaux, dont le fonctionnement hydrologique est souvent à l'étiage en hiver. On la trouve aussi sur des plans d'eau de barrages ou sur des gravières à végétation riveraine temporairement inondée dont le fonctionnement peut être similaire [2019].
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🔍 - ©© byncsa - Jean-Michel Faton - Accouplement - Galerie photo du groupe Sympetrum |
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🔍 - © Jean-Michel Faton - France, Drôme le 14 juillet 2008 |
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🔍 - ©© byncsa - Cyrille Deliry - Histoires Naturelles - Pierrelatte (France, Drôme) |
Références
Chauvet C. & Faton J.M. 2023 - Action Sympetrum depressiusculum dans la Drôme, année 2022. Dans le cadre du Plan Régional d'Actions pour les Odonates en Auvergne-Rhône-Alpes. - LPO AuRA, Groupe Sympetrum : 25 pp. - BiB
d'Aguilar J. & Dommanget J.L. 1998 - Guide des Libellules d'Europe et d'Afrique du Nord. - Del. & Niestl., Lausanne : 463 pp.
Chauvet C., Encinas L. & Faton J.M. 2020 - Les Sympétrums des canaux. Ile de Pierrelatte (26) 2019/2020. - Rapport d'étude PNAO, LPO AuRA, Groupe Sympetrum. - BiB
Chauvet C. & Faton J.M. 2023 - Action Sympetrum depressiusculum dans la Drôme, année 2022. Dans le cadre du Plan Régional d'Actions pour les Odonates en Auvergne-Rhône-Alpes. - LPO AuRA, Groupe Sympetrum : 25 pp. - BiB
de Selys Longchamps E. 1841 - Nouvelles Libellulidées d'Europe. - Revue Zoologique, 4 : 243-246. - ONLINE
Deliry C. [2000, 2019] - Odonates du Monde. - Histoires Naturelles (2004-2025). - odonates.net
Deliry C. (coord.) 2008 - Atlas illustré des Libellules de la région Rhône-Alpes. - Dir. du Groupe Sympetrum et Muséum d’Histoire Naturelle de Grenoble, éd. Parthénope, Mèze : 404 pp.
Deliry C. 2019 - Le point sur la présence du Sympétrum dépressiuscule (Sympetrum depressiusculum (Selys, 1841)) en France. - Libellul’mE, 21 février 2019.
Deliry C., Pont B., Faton J.M., Ladet A. & Oertli B. 2013 - Le Rhône, du glacier de la Furka au delta de la Camargue. Les Odonates d’un grand fleuve européen. - Sympetrum , 17 : 33-80. - PDF
Dijkstra K.D. & Lewington R. 2007 - Guide des libellules de France et d'Europe. - Delachaux et Niestlé : 320 pp.
Dolný A., Mižičová H. & Harabiš F. 2013 – Natal philopatry in four European species of dragonflies (Odonata: Sympetrinae) and possible implications for conservation management. – J. of Insect Conservation, 17 (4) : 821-829.- ONLINE
Dolný A., Harabiš F. & Mižičová H. 2014 – Home Range, Movement, and Distribution Patterns of the Threatened Dragonfly Sympetrum depressiusculum (Odonata: Libellulidae): A Thousand Times Greater Territory to Protect ? – PlosOne, 9 (7). – PDF LINK
Dommanget J.L. 1987 - Etude faunistique et bibliographique des Odonates de France. - MNHN, Inv. de Faune et de Flore, fasc. 36 : 283 pp. - ONLINE
Dommanget J.L., Prioul B. & Gajados 2009 – Document préparatoire à une Liste Rouge des Odonates de France métropolitaine, complétée par la listes des espèces à suivi prioritaire. – SFO.
Durand E. 2023 - Distribution et éléments d’écologie de Sympetrum depressiusculum (Libellulidae) dans le pays avignonnais (Vaucluse et Bouches-du-Rhône). - Martinia, 37 (1) : 1-10. - ONLINE
Faton J.M. [2024] - Echanges techniques sur les sites à Sympetrum depressiusculum. - Site du Internet du Groupe Sympetrum, 20 et 21 juillet 2024. - ONLINE
Grand D. & Boudot J.P. 2006 - Les Libellules de France, Belgique et Luxembourg. - Biotope, Meze, (Collection Parthenope) : 480 pp.
Hoefnagel Joris 1575 - Animalia Rationalia et Insecta (Ignis). - Planches.
Hykel M., Harabis F. & Dolný A. 2016 – Assessment of the quality of the terrestrial habitat of the threatened dragonfly, Sympetrum depressiusculum (Odonata: Libellulidae). – European J. of Entomol., 113 : 476-481. – PDF LINK
Hykel M., Harabis F. & Dolný A. 2017 – Diel changes in habitat use by dragonflies : Nocturnal roosting site selection by the threatened dragonfly Sympetrum depressiusculum (Odonata: Libellulidae) . – Entomol. Sc., 21 (2).
Itrac-Bruneau R. 2025 - Les demoiselles et libellules des milieux courants de tête de bassin : enjeux de conservation et guide d’orientation de gestion des habitats en Bourgogne-Franche-Comté. - Conservatoire botanique national de Franche-Comté, Observatoire régional des Invertébrés : 12 pp. - PDF LINK
Santovac S., Jović M. & Andus L. 2005 - Sympetrum depressiusculum (Sélys, 1841) new species in the Odonata fauna of Serbia. - Archives of Biol. Sc., 57 (3) : 255-256. - PDF LINK
Schmidt E.G. 2008 - Sympetrum depressiusculum (Selys), a southern continental dragonfly depending on artificial habitats in Atlantic northwestern Germany (State of Northrhine-Westphalia) (Anisoptera : Libellulidae). - Notulae Odonatologicae, 7 : 5-10.
Šigutová H., Šigut M. & Dolný A. 2015 – Intensive fish ponds as ecological traps for dragonflies: an imminent threat to the endangered species Sympetrum depressiusculum (Odonata : Libellulidae). – J. of Insect Conservation, 19 (5) : 961-974.
Šigutová H., Šigut M. & Dolný A. 2018 - Phenotypic plasticity in specialists: How long-spined larval Sympetrum depressiusculum (Odonata: Libellulidae) responds to combined predator cues. - PlosOne, 8 août 2018. - PDF LINK
Ulmer A. 2011 - Sympetrum pedemontanum (Allioni, 1766) nouveau pour les départements de la Loire et de la Haute-Loire, et sites majeurs pour Sympetrum depressiusculum (Selys, 1841) dans ces deux départements. - Martinia, 27 (2) : 95-100.
Ulmer A. 2013 - Deux espèces de libellules prestigieuses à St-Paul en Cornillon. - Commune de St-Paul en Cornillon, Lettre d’information n°5.
[A vérifier !] - Wildermuth H., Gonseth, Y. & Maibach A. 2005 - Odonata - les libellules de Suisse. - Fauna Helvetica 11, CSCF/SES, Neuchâtel : 400 pp.
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