Coenagrion mercuriale (France)

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Deliry C. [2025] – Coenagrion mercuriale (France) - In : Odonates du Monde (Histoires Naturelles) (2004-[2025]) – Version 48505 du 23.12.2024. – odonates.net

France (Espèces)

Coenagrion mercuriale (de Charpentier, 1840) →

Agrion Mercure [de Selys Longchamps & Hagen 1850], Agrion de Mercure [Robert 1958, Dommanget 1987, Dupont 2010, Deliry 2017]
Famille des Coenagrionidae (Coenagrionidae s.l.)

  • Agrion fonscolombii Rambur, 1842 [Pidancet 1856]
  • Agrion mercuriale de Charpentier, 1840 [de Selys Longchamps & Hagen 1850, de Selys Longchamps 1876, Lucas 1900, Martin 1931, Robert 1958]
  • Coenagrion mercuriale (de Charpentier, 1840) [Kirby 1890, Dommanget 1987, Dupont 2010, Deliry 2017]

Statuts

VU 2023 (VU 1990, NT 2001, 2016) UICN - VU 2024 (EN 1988, NT 2010) Europe (Berne 1979, Directive Habitats 1992 : ann.II) - NT 2009 Bassin méditerranéen

France : Liste rouge 5/10 - Localisée et disséminée à effectifs assez faibles (Dommanget 1987). - Espèce protégée (2007) (Maurin 1994) - LC 2016 (NT 2009, EN 1994[1] - PNAO (2020-2030) et ante

LC 2016 Aquitaine - LC 2017 Auvergne - LC 2015 Bourgogne - NT 2019 Bretagne - LC 2022 Centre - NT 2013 Franche-Comté - EN 2014 Ile-de-France - LC 2018 Limousin - EN 2012 Nord-Pas-de-Calais - NT 2022 Normandie - LC 2021 Pays-de-la-Loire - VU 2016 Picardie - NT 2018 Poitou-Charentes - LC 2017 Provence (PACA) - LC 2014 Rhône-Alpes[2]
NT 2023 Grand-Est - LC 2018 Occitanie

Liste Verte (SE de la France) - Caractéristique des petites eaux vives (Biotopes INVOD n°1 : zones de sourcs, n°2 : ruisselets et ruisseaux, n°3 : rivières eaux vives).

Coenagrion mercuriale mercuriale (de Charpentier, 1840) - [A vérifier !]

Commentaires

Si la répartition de l'espèce en France, il reste des lacunes en termes de synthèse des localités importantes. En effet, la distribution fonctionne selon un système de métapopulations caractérisé par des stations satellites souvent transitoires et faiblement peuplées. Il y a de plus chez cette espèce un comportement de prospection des imagos des stations plus riches en proies, qui diffèrent des réels sites de reproduction. Si la répartition générale de l'Agrion de Mercure est bien connue de longue date, les progrès des connaissances de détail de sa répartition ont été affinées depuis le début des années 2010 dans la mesure où l'espèce a été inscrite au PNAO et où elle est protégée [26 octobre 2024].

Historique et Répartition

Elément méditerranéen (St Quentin 1960), atlanto-méditerranéen (type : Geijkses & van Tol 1983).
Sud-ouest et parties tempérées de l’Europe (de Selys Longchamps & Hagen 1850). Espèce locale dans les parties tempérées et méridionales de l’Europe (de Selys Longchamps 1876). Sud-ouest et centre de l’Europe, assez répandue, mais toujours rare (Robert 1958). Afrique du Nord, Europe méridionale (Dommanget 1987). En déclin dans le nord et l’est de l’aire de répartition, semble éteinte en Slovaquie et Slovénie (Dupont 2010)[3]. (Afrique du Nord : Coenagrion hermeticum), Europe occidentale. Des mentions en Europe orientale et du Caucase s'avèrent erronées. Espèce en expansion (Deliry 2017).


France : protégée - ill. : Hoefnagel 1575, 1590 : pl. XXI ; mercuriale : de Selys Longchamps 1876, Deliry 1997, Deliry & Grand 1998, Steinmann 1997, LC 2016. VU stable (in Grand 1995). Le pré-Atlas de Dommanget (1994) donne une répartition sporadique, fonction des secteurs les mieux prospecté (signalée sur 120 cartes 1/50000e, 20% de celles-ci concernent la région Rhône-Alpes, ainsi l'espèce paraît plus répandue qu'il n'apparaît sur les cartes du pays car elle semble en réalité présente sur ses bons habitats "partout" où on la cherche (Deliry 2001). De manière nuancée, elle est plus menacée dans la moitié nord du pays que dans la moitié sud (Maurin 1994). Faton (1997) précise que nous avons en France certainement la "plus grosse population" de cette espèce. Bien répartie (Deliry 2001). Connue sur l'ensemble des départements de France, sauf en Corse, la densité des localités est plus faible en Bretagne, dans le Massif Central, les Alpes, les Vosges et le nord du Bassin Parisien [2024]. Néanmoins des éléments permettent d'approcher de la certitude quant à la présence dans l'Hérault de Coenagrion castellani (selon Brochard [2024]), ainsi qu'à l'étude pour le Var et les Alpes-Maritimes (C.Deliry com. In : Brochard [2024]).

🔍 - Carte adaptée de la SfO [2000], complétée in Faton & Deliry 2000

Provence, vers Aix (Bouches-du-Rhône) transmis par Boyer de Fonscolombe (Agrion fonscolombii : Rambur 1842), de plus Hyères (Cantener) (Var), vers Bagnère de Bigore (Philippe) (Hautes-Pyrénées) ; Genève (Pictet de la Rive) (de Selys Longchamps & Hagen 1850). Commune vers Besançon (Doubs) (Pidancet 1856). Commune, mais localisée en France ; ne monte pas dans le Nord (Martin 1931). Commune dans les années 2000, ainsi que les années 2010 (Ruffoni [2022]). La cartographie de l'Atlas dynamique, rend compte d'une espèce uniformément répartie sur l'ensemble du pays. Elle est absente de la Corse, du nord de la Bretagne, des hauteurs de la Normandie ainsi que d'une part importante de la Seine-Maritime, lacunaire au nord de Paris, notamment au nord de l'Oise. Elle manque par ailleurs dans les secteurs d'altitude dans les massifs des Vosges, du Massif Central, les Alpes ou d'une partie des Pyrénées (selon Ruffoni [2022] : 26 octobre 2024). Cette espèce sub-endémique de l'Europe de l'Ouest présente en France ses plus fortes populations (Boudot & al. 2015).

🔍 - Coenagrion mercuriale - Par départements
La limite en tiretets est celle connue par Dommanget (1987), ajustée. Une hypothèse d'expansion est donnée pour le cœur du pays (Deliry 2022).
🔍 - Coenagrion mercuriale – Données placées par localités (Deliry 2022).
  • Grand-Est - Assez répandue, mais localisée et disparâtre (Dabry & al. 2023).
  • Hauts-de-France (Lebret 2023).
  • Midi-Pyrénées - Aveyron (Dommanget 2005).
  • Poitou-Charentes - 403 communes (34 %). - Incrite au PNAO, l'espèce est l'objet d'étude sur 160 placettes témoin sur la région. Les trois-quart des données ont été collectées en Charente-Maritime et Charente [2024].
  • Provence (PACA) - Alpes-de-Haute-Provence (Frapa 2024).
  • Rhône-Alpes - (Deliry & Grand 1998a, 1998b). On connaît en Isère plusieurs stations dont certaines très favorables passent le millier d'individu (espèce à conserver sur la Varèze et sur la Gervonde). Cette option est très ponctuelle néanmoins. Plusieurs cas de déclin ont été constatés récemment en Savoie. Découverte à plus de 1000 m d'altitude en Haute-Savoie à Chamonix au début du XXe siècle, elle vient d'être retrouvé selon Bal (1996) (Deliry 1997). Dans l'Ain seuls quelques stations sont connues pour l'instant au début des années 2000 : marais annexes à la Vallée du Rhône, lônes du Rhône, parties moyenne et aval de la vallée de l'Ain, secteur du Marais de Lavours ; elle y est classée comme Vulnérable (Deliry 2001). Connue en Ardèche, Drôme, Loire, Rhône, elle est considérée comme Vulnérable en Isère et En Danger en Savoie et Haute-Savoie. L'Agrion de Mercure est considérée comme une espèce déterminante ZNIEFF dans le domaine Alpin, et à prendre en compte à partir du moment où ses populations sont remarquables dans les domaines continentaux et méditerranéen (Deliry 2001) [A actualiser !]. - Ain (VU 2006) (Python 2006 ; Marais de Lavours : Deliry 1998, 2014), Drôme (Faton & Deliry 2004), Isère (LC [2025] ; VU in Deliry 1997), Loire (PC [2006]), Haute-Savoie (Bal 1996).
🔍 - Proportion des populations selon les grands bassins hydrologiques en Rhône-Alpes selon Deliry & Grand (1998a, b)

Habitats

Cette espèce a été découverte en Haute-Savoie sur une station passant les 1000 m d'altitude, au début du XXe siècle, vers Chamonix (Deliry 1997). Le long des cours d’eau sur terrains calcaires, à courant pas trop vif jusqu’à 700 m d’altitude ; parfois sur des tout petits ruisseaux ou même des fosses très envahis par des Cypéracées (Deliry 2022). Eaux courantes plus ou moins vives, de faible importance, ensoleillées et sur terrains calcaires [exceptionnellement cristallins] ; larves dans les chevelus racinaires ou dans les plantes aquatiques (Callitriches...) : sources, fontaines, sorties de puits artésiens, ruisselets, ruisseaux et petite rivières, sous 700 m d’altitude (Dommanget 1987). L’altitude de 1000 m est passée en Isère et dans les Hautes-Alpes. Le record d’altitude est de 1425 m en Ariège (Bonifait & al. 2008), mais la majorité des stations se trouve sous 700 m d’altitude (Grand & Boudot 2006). Rhéophile à tendance héliophile sur substrat souvent calcaire au niveau de sources ou de petits cours d'eau riches en hydrophytes (notamment Potamogeton coloratus). Atteint les 2000 m d'altitude dans les Pyrénées (Deliry 2017). Selon Ruffoni ([2022]), l'essentiel des observation sont faite sous 500 m d'altitude, un record "incroyable" à 2966 m est indiqué !
Cette espèce recherche des fossés ou des petits cours d'eau, ensoleillés, généralement oligotrophes, parfois mésotrophes, de faible profondeur, occupés par des hélophytes avec des tiges creuses dans lesquelles elle insère ses œufs (Deliry 2022).
Ruffoni ([2022]) souligne que les principales menaces concernent l'intensification des pratiques agricoles associées à l'entretien non raisonné des fossés, complété par les difficultés de ressources en eau associées aux changements climatiques.

Phénologie

C'est une espèce précoce émergeant tôt au printemps [2024].
De la mi-mai à août (Martin 1931), de mai à août (Robert 1958). Vole de mi-mai à fin août. Emergences jusqu’à début-juillet (Dommanget 1987). L’espèce pouvant être observée localement jusqu’en novembre (Drôme) (Deliry 2022).
Vole d’avril à début novembre en zone méditerranéenne (Grand 2002).
Le développement larvaire dure entre un an (dans le domaine méditerranéen) et deux ans (dans le nord) (Dupont 2010). Vole d'avril à novembre, mais de mai à août dans le nord. Développement larvaire en une ou deux années et pourrait être bivoltine localement (Deliry 2017). La période de vol totale est plus étendue dans le Sud de la France où elle se déroule principalement d'avril à août (septembre), que dans le Nord où elle est limitée entre mai et juillet (août). Dans l'ensemble un pic survient au mois de juin (selon Ruffoni [2022] : 26 octobre 2024).

Références

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[b] Deliry C. & Grand D. 1998 - L’Agrion de Mercure dans la Moyenne Vallée du Rhône. - Dossier d'étude, Groupe Sympetrum, étude pour les Réserves Naturelles du programme LIFE  » documents d’objectifs  » Moyenne Vallée du Rhône : 21 pp..
Deliry C. [2006] - Odonates du Monde. - Histoires Naturelles (2004-2025). - odonates.net
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Guerbaa 2009 - [cf. Coenagrion mercuriale] - [A préciser !]
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Huon F. & Dieu E. 2011 - Observations de Coenagrion mercuriale (Charpentier, 1840) et de Cordulegaster boltonii (Donovan, 1807) à Fontenay-le-Fleury (Département des Yvelines). - Martinia, 27 (2) : 139-140.
Lamouille-Hébert M. 2016 – Amélioration des connaissances sur la répartition de Coenagrion mercuriale dans le département de la Haute-Savoie. – Martinia, 32, 25–30.
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Bonifait S., Defos du Rau P. & Soulet D. 2008 - Les Odonates de la Réserve Nationale de Chasse et de Faune Sauvage d'Orlu [Ariège]. - Martinia, 24 (2) : 35-44.
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== Notes ==

  1. EN dans le nord du pays, VU dans le sud selon Maurin (1994).
  2. Années 1980-90 : menacée en raison d'effectifs en général faibles (in Deliry 2001). En 1997 l'espèce était classée Vulnérable en Rhône-Alpes (Deliry 1997).
  3. Dans ces deux pays il devait plutôt s'agir de Coenagrion castellani (com., 26 octobre 2024).